🦕 Peut On Toucher Un Mort Apres Le Lavage Mortuaire
Effectuerle lavage mortuaire, » ghass al mayyit » l’envelopper d’un linceul » takfîn « , prier sur lui et l’ensevelir,est une obligation communautaire » Fard
Ilest souhaitable de sécher le corps (à l’aide d’un linge) à la fin du lavage. Si quelque chose sort du mort (urine, selles ou sang) après sept lavages, on bouchera l’orifice naturel avec du coton,
Unprojet de cours d’artifices de guerre, rédigé par le Conseil d’instruction de l’École de pyrotechnie, a été, d’après l’avis du Comité, mis en essai par quatre commissions formées dans les écoles de Douai, Metz, Strasbourg et Toulouse. Les observations présentées par ces commissions ont été examinées, et l’on a tenu compte des changements survenus depuis,
Apprenonsles formules de Dhikr à réciter avant et après le sommeil. Apprenons la manière de laver le mort afin de pouvoir pratiquer le lavage mortuaire. Prenons l’habitude de nous rendre au cimetière. Lisons la vie du Prophète Youssouf (Sourate 12)
Dansdes conditions normales, le bain mortuaire (Ghousl), le placement dans un linceul et l’accomplissement de la Salât Janâza (prière mortuaire) constituent des rituels impératifs en droit musulman. Dans les conditions actuelles cependant, il est avéré que le contact avec les personnes décédées atteintes du Covid-19 est source de contamination. Par ailleurs, il y a une
Lagonie. Lavage mortuaire. Prière sur le défunt. Enterrement. Et à partir de là , les deux anges de la mort viennent à nous pour interrogation. Soit ce sera une félicité soit un châtiment douloureux. De là , l'attente sera établie jusqu'à ce que la trompette retentira.
LeSénégal peut désormais rapatrier ses fils décédés de Covid-19 aux Etats-Unis. C’est l’ambassade du Sénégal aux Etats-Unis qui donne l’information, d
ChristopheCarmarans/RFI. Les inondations qui ont touché la France fin janvier ont fait d’énormes dégâts. Pour les sinistrés, le nettoyage peut non seulement s’avérer décourageant mais
Lavagemortuaire : Auteur Message; Fajrine Admin. Nombre de messages: 2270 Age: 12 Localisation: Devant votre ecran Date d'inscription : 16/12/2005: Sujet: Lavage
Lerite funéraire pour les obsèques bouddhistes. La cérémonie à la pagode, l’incinération du corps et la conservation des cendres dans une urne funéraire constituent l’essentiel de la cérémonie bouddhiste. La cérémonie peut prendre plusieurs jours. La conservation du corps par des produits est autorisée.
Nousentamons une série de témoignages mettant en avant ces acteurs de l’islam dont on parle peu. interrogé Safae Oum Ayoub, une jeune parisienne qui exerce depuis 2010 le lavage mortuaire musulman, un témoignage poignant à lire et à partager. Comment ête-vous devenue laveuse de mort et depuis quand le pratiquez-vous ?
Enle retraçant, Benson et Stabler parviennent à interroger le gérant de la société de location qui leur révèle le nom de leur mort : Carlos Martinez. Âgé de 18 ans, venant du Texas, il lui a offert une voiture de luxe pour louer la camionnette et, en fouillant dans le cadeau de Martinez, ils détectent le dernier endroit où il était avant de mourir. Soit une petite maison d'un
Idéesreçues sur le mal occulte – Article n°28. Traitement de la roqya : après qu'une soeur étudiante en médecine prophétique soit intervenue à la radio, nous avons décidé de ne pas publier l'audio qui comportait quelques erreurs. A la place, nous avons travaillé sur un PDF complet qui ne reprenait que des éléments fiables sur le
Lelavage du mort et le linceul: Dire Une Science (islamique) utile qu'il a laissée de son vivant et que les gens suivent même après sa mort. La mort d'un Savant en plein cours islamique est sans nul doute un Signe de félicité : - Cheikh Mohammad al-Ghazâlî a passé sa vie dans la prédication islamique, ne cessant d'exhorter les musulmans à sortir de leur torpeur quitte Ã
Désaccord sur les biens après divorce – Le statut du mariage pour la femme. Partie 9 : – Se lamenter à voix haute sur le mort – Qui remplace le père s’il abuse en refusant un prétendant sans raison – Le lavage mortuaire des époux – Le statut du bébé né mort – La mort d’une femme enceinte – L’enterrement de la
GR3MA51. Laver le mort -ghasl al mayyit-, l’envelopper d’un linceul -takfîn-, prier sur lui et l’ensevelir, est une obligation communautaire -fard kifâya-, de sorte que si certains musulmans en assurent l’exécution, le péché de faillir à cette obligation ne frappe pas les autres. La personne qui a le plus de droit à laver le mort, est celle qu’il a lui-même désignée dans son testament. Ensuite vient le père du défunt, car il est plus affectueux à son égard et plus connaisseur en la façon de procéder que le fils du défunt, ensuite les autres dans leur ordre de parenté avec le défunt. La femme est lavée par celle qu’elle a recommandée dans son testament, ensuite sa mère, puis sa fille, puis les autres dans leur ordre de parenté avec la défunte. Il est possible que le mari lave son épouse, car le Prophète صلى الله عليه وسلم a dit à Aïsha رضي الله عنها Qu’aurais-tu à perdre si tu mourais avant moi, puisque je te laverais... » 1 De même, il est possible que l’épouse lave son mari, car Abû Bakr رضي الله عنه a recommandé dans son testament que sa femme le laverait. 2 L’homme, comme la femme, peuvent laver l’enfant qui a moins de sept ans, qu’il soit un garçon ou une fille, car la religion est tolérante concernant la nudité de l'enfant. Lorsqu’un homme meurt uniquement entouré de femmes ou vice-versa, on doit remplacer le lavage par le tayammum ; il consiste à ce que l’un d’eux pose les mains sur le sol, ensuite les fait passer sur le visage puis les mains du mort. Il est interdit au musulman de laver un mécréant ou de l’enterrer, conformément à la parole d’Allah le Très Haut "Ne prie jamais sur aucun d ’eux s’il meurt." 3 Si la prière mortuaire sur lui, avec toute l’importance que comporte ce culte, est interdite, alors toutes les pratiques funéraires qui sont en deçà de la prière le sont aussi. Le laveur doit couvrir les parties du corps qu’il est interdit de montrer -`awra-, puis lui enlèvera ses habits. Il doit le mettre à l’abri des regards des gens, car il se peut qu’il soit dans un état déplaisant Puis il soulèvera sa tête jusqu’à le mettre dans une position presque assise, puis pressera légèrement sur son ventre pour le débarrasser de ce qu’i1 pourrait renfermer, puis versera de l’eau en abondance pour nettoyer les impuretés S’enroulant la main d’une serviette ou un gant, il lavera les parties intimes sans les regarder et sans les toucher s’i1 s’agit d’un mort qui a plus de sept ans. Il dira Bismi-LLah » au nom d’Allah, puis pratiquera sur lui des ablutions comme celles de la prière, conformément à ce qu’a dit le Prophète صلى الله عليه وسلم aux laveuses de sa fille Zaynab رضي الله عنها Commencez par le côté droit et les parties qu’on lave lors des ablutions.» 4 Sauf qu’il ne devra pas rentrer l’eau dans ses narines ni dans sa bouche, mais il s’enroulera le doigt d’un tissu mouillé, le mettra entre les lèvres du défunt et frottera ses dents, nettoiera les narines aussi. Il est souhaitable de laver sa tête et sa barbe à l’aide d’une mousse faite de mélange d’eau et du jujubier -sidr- Avec le reste de cette eau, on lavera tout le corps. Ensuite il lavera le côté droit de face. Puis de dos coté droit, il procédera de la manière pour le côté gauche, conformément au Hadith précité Commencez par le côté droit ». Il répétera l’opération une deuxième et une troisième fois conformément à ce qu’a dit le Prophète صلى الله عليه وسلم dans le Hadith précité Lavez-la trois fois », en ayant soin, chaque fois, de lui presser sur le ventre. S’il en sort quelque chose, il le lavera. Au laveur de faire plus de trois lavages, voire même dépasser le nombre de sept s’il voit qu’il est nécessaire. Relève de la Sunna le fait de mettre du camphre dans le dernier lavage, car le Prophète صلى الله عليه وسلم a dit dans le Hadith précité Mettez du camphre dans le dernier lavage » Il s’agit d’un genre de parfum connu, il est frais et son odeur chasse les insectes. Il est recommandé de laver le mort avec de l`eau froide, sauf si le laveur voit qu’il y a beaucoup de saletés sur le corps du défunt, dans ce cas, il peut utiliser de l`eau tiède. Il peut aussi se servir du savon pour lui enlever les saletés, mais il ne doit pas le frotter brutalement car la peau risque de se décoller. Il peut nettoyer ses dents à l`aide d’un cure—dents. Il est souhaitable de raccourcir la moustache et les ongles du mort s`ils sont longs. Quant aux poils des aisselles et du pubis, on ne les coupe pas. On ne lui peignera pas les cheveux car ils risqueront de tomber ou de se couper. Si le mort est une femme, on fera trois tresses de ses cheveux et on les laissera pendre dans le dos. Il est souhaitable de sécher le corps à l’aide d’un linge à la fin du lavage. Si quelque chose sort du mort urine, selles ou sang après sept lavages, on bouchera l’orifice naturel avec du coton, puis on nettoiera l’endroit souillé. S`il en sort quelque chose après l’avoir enveloppé dans du linceul, on ne le relavera pas, car c’est gênant de le faire. Le pèlerin le grand pèlerinage —hajj- ou le petit pèlerinage -`umra— qui se trouve en état de sacralisation -al-muhrim— sera lavé avec de l’eau et du jujubier —sidr—. On ne le parfumera pas et on ne lui couvrira pas la tête s’il s’agit d’un homme, car le Prophète صلى الله عليه وسلم a dit propos du pèlerin qui est mort en état de sacralisation Ne le parfumez pas » Et il صلى الله عليه وسلم a dit Ne lui couvrez pas la tête; il sera ressuscité dans l’au-delà en faisant la talbiyya » 5. On ne lavera pas le martyr tombé sur le champ de bataille; le Prophète صلى الله عليه وسلم a donné l'ordre que les morts de la bataille d’Uhud soient enterrés dans leurs habits et qu’ils ne soient pas lavés. 6 On l’enterrera donc dans les vêtements dans lesquels il est mort, après lui avoir retiré son équipement de fer et de cuir. On ne fera pas sur lui la prière des morts, car le Prophète صلى الله عليه وسلم n’a pas prié sur les martyrs de la bataille d’Uhud. 7 On lavera l’avorton -siqt— qui a atteint quatre mois, on fera sur prière des morts et on lui donnera un nom. Le Prophète صلى الله عليه وسلم a dit Le potentiel de création -khalq- de chacun de vous est rassemblé en un peu de liquide -nutfah dans le ventre de sa mère pendant quarante jours, puis il est une adhérence -`alaqah- pendant une période similaire, puis il est une mâchure -mudgha- pendant un période similaire. Allah demande ensuite à l’ange qui insuffle en lui l'ame. » 8 C`est à dire que l’âme pénètre dans le corps après quatre mois. Avant cette période. il n`est qu’un morceau de chair qu`on enterrera sans lavage ni prière. Quand il est impossible de procéder au lavage du mort, parce que l’on manque d’eau ou que l’on craint la décomposition du corps ou que le mort est carbonisé, on pratique le Tayammum ; il consiste à ce que l`un des gens présents pose ses mains sur le sol, puis les fait passer sur le visage et les mains du mort. Le laveur doit taire ce qu’il voit sur le défunt comme choses déplaisantes, tels que l'assombrissement de son visage ou la présence de traces désagréables sur son corps, ou des stigmates de ce genre. Le Prophète صلى الله عليه وسلم a dit Celui qui a lavé un mort et a tu ses défauts, Allah l’absout quarante fois. » 9 1 Hadîth authentique rapporté par Ahmad. Voir ses sources dans l’épître intitulée le lavage et l’inhumation -al-ghusl wa-l—kafan- » du shaykh Mustapha al `Adawi page 46. 2 Rapporté par `Abd ar—Razzâq dans al-Musannaf n° 6117. 3 Coran, verset 84 du chapitre le repentir ». 4 Unanimement accordé 5 Unanimement accordé. 6 Rapporté par al—Bukhâri. 7 Unanimement accordé. 8 Rapporté par Muslim. 9 Rapporté par al—Hâkim et qualifié d`authentique par al-Albâni dans Les règles des funérailles >> page 51. source Pratiques funéraires 40 Fatwas de Savant, 241 innovations Cheikh Mouhammad Nacer-dine Al-Albany Article paru sur 3ilm char3i
APRNEWS - Pour les musulmans, la toilette funéraire est un devoir moral, à la fois envers le défunt aux yeux de la sunna la tradition et les pratiques du prophète Mahomet; le fait d’y participer permettrait le pardon de 40 péchés. L’instructrice, Alia, est Irakienne. Qui parle arabe, ici? » demande-t-elle. La moitié des participantes lèvent la main. Miriam, la présidente de l’association se chargera donc de la traduction simultanée. Il faut savoir que selon la sunna, un défunt doit être enterré dans un délai d’un jour. Or, les pratiques administratives en vigueur en Suisse font que l’observation de cette tradition est impossible. Le plus souvent, nous ne pouvons pratiquer la toilette rituelle que le troisième jour; parfois il faut attendre une semaine», explique Miriam. Le passage en chambre froide gêne les musulmans considèrent qu’un défunt est capable de voir et de ressentir pendant douze heures encore après son décès. Jamais sans ma valise Le rituel est effectué par 3 à 5 personnes de confiance, en suivant la règle de la non-mixité. La sunna prévoit une exception pour les époux une femme peut toiletter son mari et vice versa et les parents une mère ou un père peut toiletter son enfant de sexe opposé jusqu’à l’âge de 7 ans. Les bénévoles peuvent avoir été désignés par l’intéressé de son vivant. Les détails de la toilette seront dans tous les cas soumis au secret. Dans la valise mortuaire» de l’instructrice, on trouve notamment des serviettes et des lingettes, du coton épais et des rondelles d’ouate, du dissolvant à ongles, un peigne et une brosse à cheveux, du savon et de la poudre de sidr ou jujubier également utilisée comme savon, mais aussi du shampoing, du camphre, du musc et surtout, le kafan, c’est-à -dire le linceul. Taillé dans un coton fin de bonne qualité, il comprend deux grandes pièces de tissu pour envelopper le corps, une robe, une blouse et un foulard. Le kafan est normalement de couleur blanche, mais il peut être fleuri en Algérie et vert en Tunisie, par exemple. Une fois le kafan déplié et déposé sur la table mortuaire, la toilette Ghoussl peut commencer. Aujourd’hui, celle-ci sera mimée sur un mannequin en mousse. La housse mortuaire est ouverte précautionneusement, un linge opaque rabattu sur le corps du défunt pour ne pas dévoiler sa nudité. Ses articulations sont doucement massées pour les assouplir après le passage au frigo» qui peut entraîner une certaine ankylose. Si cela n’a pas déjà été fait, il faut lui fermer les yeux – au besoin, on peut les couvrir avec des rondelles de coton. Le ventre est débarrassé des gaz abdominaux et des matières fécales en exerçant de légères pressions sur l’abdomen. Les gestes doivent être effectués avec délicatesse et discrétion. Les éventuels bijoux, bagues et pansements sont retirés, tout comme les bridges et les appareils dentaires, sauf si l’ouverture de la bouche est rendue impossible par la rigidité cadavérique. Munie d’un petit arrosoir blanc, Alia fait semblant de procéder à ces petites ablutions qui sont rythmées d’invocations bismillah», au nom de Dieu, conformément à la tradition. Elles seront répétées trois fois, d’abord du côté droit, puis du côté gauche. Elle nettoie délicatement les mains, la bouche, le nez et les oreilles, avant de les boucher avec du coton pour éviter d’y faire entrer involontairement de l’eau. Elle termine avec les pieds et place un chiffon propre entre les jambes du défunt, pour prévenir le risque de souillure du linceul. Un verre de sidr Pour les grandes ablutions, il faut impérativement être plusieurs puisqu’il faut manier le cordon de douche de la morgue tout en maintenant le corps en équilibre sur le côté. Il sera lavé en entier trois fois, en commençant par le haut du corps pour descendre progressivement jusqu’à la pointe des pieds. L’eau utilisée ne doit être ni trop chaude ni trop froide. Miriam précise qu’il faut compter un verre de sidr pour cinq litres d’eau. Les participantes prennent studieusement des notes. Après le séchage du corps, un soin particulier est apporté aux cheveux brossage et shampoing en tous les cas, après-shampoing éventuellement, puis tressage de nattes afin que la couronne du paradis puisse tenir sur la tête. Ces femmes ne sont pas là uniquement pour le respect de la tradition ou le pardon de leurs péchés. Un jour, l’une d’elles sera peut-être toilettée par des sœurs qui ont participé à ce cours. On lave la personne comme on aimerait être lavé» Miriam, présidente de l’association œcuménique Espace Mouslima Quelles sont les motivations de vos bénévoles? La motivation principale est d'obtenir des récompenses et le pardon de ses péchés. Le prophète rapporte que celui qui effectue la toilette mortuaire aura 40 péchés pardonnés. La toilette mortuaire est une obligation. C'est un honneur de le faire. Nous avons donc décidé de nous organiser en groupe bien structuré, avec une liste de bénévoles toujours à jour et un groupe WhatsApp qui réunit les bénévoles. Quand il y a une demande, on fait un tournus pour que ce ne soient pas toujours les mêmes qui interviennent. Ce qui nous motive est de trouver une personne de confiance qui puisse nous laver lors de notre décès. On lave la personne comme on aimerait être lavé. C'est le principe. Quid de l’appréhension à toucher un corps mort? Au début c'est effrayant, puis on prend l'habitude et avec les prières et les invocations, on arrive à dépasser l'appréhension. Ces rituels se déroulent-ils toujours à la morgue? En général, elles se déroulent à la morgue de l'hôpital ou à la chapelle funéraire. Jamais au domicile, ici en Suisse. Car ce sont les pompes funèbres qui font appel à nous, sur demande de la famille. Dans les pays musulmans, la toilette peut se faire à la maison.
1 Salamou Alaykoum All, Dernièrement j'ai assisté a une conf et initiation au lavage mortuaire.. bon je ne sais pas si j'ai été distraite mais une question n'a pas été abordé.. Est- il permis a un garçon de laver sa mère ? et vice versa Je sais que c'est possible pour un nourrisson mais jusqu'a quel âge ? Voila Mirci 2 Salamou Alaykoum All, Dernièrement j'ai assisté a une conf et initiation au lavage mortuaire.. bon je ne sais pas si j'ai été distraite mais une question n'a pas été abordé.. Est- il permis a un garçon de laver sa mère ? et vice versa Je sais que c'est possible pour un nourrisson mais jusqu'a quel âge ? Voila Mirci A ma connaissance non 3 non, je crois que c'est à partir de 6 ou 7 ans que c'est interdit de laver son enfant un enfant ne peut pas laver sa mère, le garçon peut assister pour le père ca c'est sure 4 non, je crois que c'est à partir de 6 ou 7 ans que c'est interdit de laver son enfant un enfant ne peut pas laver sa mère, le garçon peut assister pour le père ca c'est sure Pourquoi 6 ou 7 ans ? 5 il me semble que l'âge de la conscience , le meme âge ou il doit commencer à faire sa prière en fait
Martin LacroixRédacteurSes convictions Réactivons ensemble nos capacités d'empathie et d'émerveillement à travers une série d'explorations du corps humain à demi-sauvage...Y a-t-il une vie après la mort ? Depuis plusieurs siècles, la science se substitue progressivement à la religion pour expliquer les grands mécanismes de la vie. La reproduction, l’évolution, les maladies, l’hérédité, le vieillissement les cartes se dévoilent une à une et s’associent pour former un château d’une improbable complexité. Mais l’édifice s’élève de plus en plus haut en dépit d’un problème de fondation criant les deux plus grands mystères de l’humanité restent toujours inexpliqués. Pourquoi sommes-nous là ? Qu’est-ce que la mort nous réserve ? Nous l’ignorons. Et ce sont ces lacunes qui poussent des milliards de personnes à croire encore en la fin du XIXème siècle, le sociologue Emile Durkheim fait un pari sur l’avenir A mesure que les sciences progresseront, elles parviendront à déloger la foi et la religion finira par disparaître ». Mais il faut croire que l’heure du grand remplacement n’est pas encore venue. Seul 13 % de la population mondiale serait athée, et à peine 5 % de la population nord-américaine1. Des chiffres édifiants qui témoignent de l’impuissance des sciences devant certains phénomènes troublants. Et parmi eux, il en existe un qui prend de l’ampleur l’expérience de mort imminente EMI.Ils prétendent revenir d'outre-tombePartout dans le monde, des millions de personnes rapportent des témoignages incroyables après s’être trouvées dans un état de mort clinique et avoir miraculeusement repris conscience2. Une lumière blanche au bout d’un tunnel, des êtres lumineux, une vie qui défile, un bien-être intense, la sensation de sortir de son propre corps… Les récits se ressemblent. Au-delà des cultures, des âges et des croyances, la séquence événementielle de l’expérience reste étonnement très conservée. On dit que ces gens qui semblent revenir de l’outre-tombe font l’expérience de la mort ces traits communs qui sont retrouvés dans la plupart des EMI ont été étudiés par plusieurs chercheurs qui prennent désormais ces témoignages très au sérieux3-5. Il faut dire que les progrès de la réanimation ont fait exploser le nombre des EMI et qu’il est désormais difficile de les accuser tous de charlatanisme. D’autant que parmi eux se trouvent des scientifiques émérites comme le professeur de neurochirurgie Eben Alexander qui a radicalement changé d’avis après avoir vécu lui-même l’expérience et le docteur Raymond Moody qui a consacré un ouvrage au sujet en recueillant des témoignages dans son hôpital6. Ce retour en arrière prenait la forme d’images mentales, disons, mais c’était des images beaucoup plus vives qu’en temps normal. Je ne revoyais que les moments importants. Cela passait à toute vitesse comme si je feuilletais le livre de ma vie entière en quelques secondes. Cela se déroulait devant moi comme un fil prodigieusement accéléré. Tout en me permettant de tout voir et de tout comprendre. » C’est un témoignage comme on en retrouve des dizaines dans le recueil du docteur Moody. Et tous comportent cette teinte un peu mystique qui fascine autant qu’elle rend ces expériences posent-elles problème ?Le premier problème posé par l’expérience de mort imminente est la définition même de la mort. Certains des individus qui ont expérimenté l’EMI étaient déclarés morts par le corps médical. Or, si nous considérons, comme l’indiquent les théories scientifiques matérialistes actuelles, que la conscience est inextricablement liée au corps humain, le phénomène décrit par ces personnes est totalement impossible. Soit les personnes ne sont pas vraiment mortes, soit le paradigme scientifique dominant de notre époque est faux. Dans un cas, comme dans l’autre, il y a quelque chose qui nous partir de quand une équipe médicale peut affirmer qu’une personne est morte ? C’est une question qui peut paraître évidente mais dont les réponses diffèrent en fonction des époques et des cultures. Pendant des siècles, le seul critère de la mort utilisé par les médecins fut le constat de la cessation d’activité cardiaque et respiratoire, autrement dit l’arrêt cardiorespiratoire. C’était un critère extrêmement lisible, plein de bon sens et qui validait nos représentations collectives de la mort. Ne parlons-nous pas de dernier souffle » et de dernier soupir » ?Mais avec les progrès de la médecine, nous sommes parvenus à faire revenir » des personnes qu’on croyait définitivement parties. Et les frontières de la mort ont donc dû être repoussées. Non, les personnes en arrêt cardiorespiratoire ne sont pas forcément mortes. Les soins avancés en réanimation, les respirateurs artificiels, les défibrillateurs ont montré que le cerveau était parfois capable de se ressaisir et de reprendre le contrôle des fonctions vitales. Au cours des derniers siècles, des milliards d’hommes ont donc sans doute été déclarés morts alors qu’ils étaient encore en vie. Condamnés sans doute, mais encore en vie. Pouvaient-ils entendre et voir le médecin constater la mort comme le rapportent certaines personnes ayant expérimenté l’EMI ? Nous ne pouvons le savoir. Comment pourrais-je considérer comme mort un patient, qui certes n’est pas conscient et qui est condamné mais qui rêve peut-être, et dont la personnalité et le centre des désirs sont encore intacts ? » se demande Pierre Marsolais, médecin les choses ont un peu changé. En France, le constat de la mort ne peut désormais être établi que si 3 critères sont réunis L’absence totale de conscience et d’activité motrice spontanéeL’abolition de tous les réflexes du tronc cérébralL’absence de toute respiration spontanéeLes médecins s’appuient sur des examens et des observations pour certifier que chaque critère est bien rempli. Mais l’un de ces critères interpelle. Sauriez-vous définir l’absence totale de conscience » ? Votre médecin le sait-il ? Que savons-nous vraiment de la conscience alors que la communauté scientifique elle-même peine à établir une définition qui fait l’unanimité ? Et il faudrait prouver que des personnes en sont dépourvues ? Comment réussir cet exploit ? La plupart du temps, le médecin fait appel au bon sens et à son expérience pour juger si la personne est encore consciente ». Mais, en cas de doute, il utilise un examen qui mesure l’activité électrique du cerveau l’électroencéphalogramme EEG. On place des électrodes sur le cuir chevelu du patient et l’appareil d’enregistrement convertit les impulsions électriques en tracés graphiques. Si le tracé obtenu est plat, on estime qu’il ne subsiste plus aucune activité électrique dans le cerveau et donc qu’on fait face à une absence totale de conscience. Un deuxième EEG attestera un peu plus tard que l’absence de conscience constatée est irréversible. La méthode semble puis en 2011, une étude publiée dans la revue PLOS ONE a semé le doute7. Des chercheurs de l’université de Montréal sont parvenus à démontrer qu’une activité cérébrale inconnue pouvait survenir chez des personnes dans le coma qui présentaient un électroencéphalogramme plat. Ces ondes électriques insoupçonnées et baptisées complexes Nu » ont mis fin à une croyance érigée en dogme selon laquelle au-delà d’un EEG plat, il n’existait plus d’activité cérébrale possible. Pour l’un des auteurs de l’étude, cela prouve que le cerveau est capable de survivre à un stade extrêmement profond de coma ». Et cela prouve surtout que nous n’avons pas encore une conception claire de la mort. Nous essayons d’interpréter les signes physiologiques que nous sommes capables de interprète-t-on scientifiquement ces expériences ?Le cerveau est un organe fondamental du corps humain. C’est l’organe de l’esprit. Pour fonctionner, il a besoin d’être constamment alimenté en oxygène et en glucose. Lorsqu’on le prive de l’un des deux éléments, en bloquant la respiration ou la circulation sanguine, il subit rapidement une altération de ses fonctions. Et c’est exactement ce qui se produit en cas d’attaque cardiaque le cœur n’est plus capable de distribuer le sang jusqu’au cerveau qui manque alors cruellement d’ que se passe-t-il entre l’arrêt du cœur et l’arrêt définitif du cerveau ? Est-ce que c’est au cours de cet intervalle de temps que se produit l’expérience de mort imminente ? Combien de temps peut s’écouler entre les deux événements ? Il y a encore quelques années, les chercheurs estimaient que le cerveau s’arrêtait une quinzaine de secondes après l’arrêt du cœur. Mais en 2013, une expérience conduite sur des rats a montré que le cerveau enregistrait encore une activité 30 secondes après l’arrêt cardiaque8. Et que cette activité témoignait d’un état d’éveil particulièrement intense. Plusieurs publications dont la célèbre étude AWARE chiffrent aujourd’hui la période durant laquelle un état de conscience est possible malgré l’arrêt cardiaque à 3 minutes, et ce même lorsqu’on constate une activité électrique nulle9. Le cerveau ne s’arrête pas quand le cœur s’arrête de battre. Au contraire, il augmente son activité. Il se débat. Pour la majorité des scientifiques matérialistes, c’est au cours de cette période que se produit l’ d’oxygène, le cerveau met tout en œuvre pour faire face à ce drame biologique inédit. Il tente de réguler la communication devenue difficile entre les cellules en libérant massivement du glutamate, une substance très active vis-à -vis de la mémoire. Et pour enrayer le dérèglement des teneurs en calcium auquel conduit l’excès de glutamate, le cerveau produit également une substance proche de la kétamine, reconnue pour ses effets hallucinogènes et sa capacité à provoquer une déconnexion du niveau sensoriel. Mais la partie du cerveau qui serait surtout impliquée dans l’EMI serait celle des lobes temporaux, connus pour jouer un rôle dans les cas d’épilepsie, d’émotions intenses, de rappel de souvenirs et de dépersonnalisation. Leur lente agonie participerait activement à l’expérience. Le neurochirurgien Wilder Penfield est d’ailleurs parvenu à recréer certaines sensations de l’EMI en stimulant cette zone chez certains de ses patients10. Le tunnel lui-même trouve son explication l’excitation aléatoire du cortex visuel produirait un effet de lumière brillante au centre du champ visuel et un fondu vers l’obscurité en ce qui ressort de ces théories, c’est que la mort n’est pas un événement ponctuel mais un processus qui se produit en plusieurs étapes. Plusieurs étapes au cours desquels se produisent des phénomènes neurobiologiques impliquant la conscience, les souvenirs, les perceptions passées. Des phénomènes dont nous ignorons encore presque tout. Il n’y a rien de moins ignoré, rien où l’on soit même préparé » disait La Fontaine à propos de la mort. C’est encore vrai aujourd’ paradigme matérialiste de la conscience est-il vraiment valide ?Certains chercheurs n’adhèrent pas à la conception matérialiste dominante de la conscience. Pour eux, ces expériences montrent que la conscience est sans doute détachée du corps humain. Ce sont les dualistes. Ils estiment comme le chercheur Pim van Lommel que le cerveau peut très bien n’être qu’un récepteur comme un poste de télévision qui retransmet les émissions qu’il reçoit. Si le poste tombe en panne, la télévision elle continue d’exister. Les dualistes opposent deux arguments principaux aux matérialistes. Environ 20 % des personnes réanimées après une attaque cardiaque rapportent une expérience de mort imminente. Et cette faible proportion pour eux n’est pas compatible avec la thèse des matérialistes. Avec une explication purement physiologique comme l’anoxie cérébrale pour l’expérience de mort imminente, la plupart des patients qui ont été cliniquement morts devraient en rapporter l’expérience » argumente Pim van il se pourrait qu’une proportion beaucoup plus élevée de gens aient des expériences du même genre, mais ne s’en souviennent pas. C’est précisément ce qui se produit chez des milliers de personnes qui connaissent de grands traumatismes comme un accident de voiture ou une chute d’escalade. Ils enregistrent le traumatisme mais celui-ci devient inaccessible momentanément et parfois même définitivement. Il existe une statistique qui renforce ce contre-argument. Plus les sujets sont jeunes, et plus l’incidence de l’expérience de mort imminente est élevée de 85 % chez les enfants, on passe à 48 % chez les quadragénaires et à 18 % chez les plus de 60 ans. Et nous savons aussi que les capacités de rappel d’un souvenir diminuent avec l’âge… Il est donc possible que nous expérimentions tous ce genre de phénomène à l’approche d’une mort autre point pose problème aux dualistes. Les matérialistes sont parvenus à expliquer plus ou moins les différentes sensations de l’EMI excepté l’une d’entre eux. Comment, alors que l’absence d’activité électrique corticale semble rendre impossible toute perception sensorielle, les expérienceurs » peuvent-ils entendre et voir les personnes qui les entourent ? Certains d’entre eux prétendent même avoir des possibilités de conscience supérieures à celles qu’ils connaissent habituellement comme se déplacer dans l’espace hors de leur corps et avoir accès à des informations pourtant inaccessibles depuis leur point de vue corporel. De nombreux chercheurs ont réussi à reproduire les expériences de sortie du corps en stimulant des zones particulières du cerveau comme le gyrus angulaire ou le lobe temporal droit. Mais aucun d’entre eux n’a réussi à reproduire la médiumnité parfois rapportée par les personnes. Des chercheurs dualistes ont conduit une étude visant à attester du pouvoir de voyance des expérienceurs au cours de l’EMI. Puisqu’ils prétendent pouvoir visualiser leur corps depuis une source extérieure alors qu’ils sont cliniquement déclarés morts, ils devraient pouvoir visualiser des objets particuliers disséminés dans la pièce et autour du corps. Les chercheurs ont donc placé photos, souvenirs et objets de valeur sentimentale sans qu’aucun des expérienceurs n’en mentionnent leur présence dans leur récit. Imaginent-ils une autre scène basée sur les dernières mesures sensorielles qu’ils ont pu effectuer ? Comment expliquer dans ce cas que leur récit corresponde à celui des médecins ? Peut-il s’agir de simples coïncidences ?Nous ne connaissons pas la vérité. La science n’a pas de vérité. Il n’y a pas de vérité qui soit scientifique, il y a des vérités provisoires qui se succèdent, où la seule vérité c’est d’accepter cette règle et cette recherche » disait le philosophe Edgar Morin14. Et aujourd’hui, la vérité provisoire appartient aux les EMI sont-ils si religieux ?Incontestablement, nous retrouvons dans les récits, les légendes et les croyances du monde, les thématiques de sorties de corps, d’ascension, de tunnel et de lumière éblouissante, de retrouvailles avec des présences humaines au moment de la mort. Et à nouveau, des similitudes apparaissent. Est-ce que ce sont ces représentations collectives et symboliques qui influencent les expériences des personnes qui frôlent la mort ? Les mythes dans lesquels elles ont baigné depuis tout petit ont-ils façonné leurs interprétations de l’expérience ? Ou bien serait-ce le contraire ? Des expériences ancestrales de personnes ayant frôlé la mort ont-ils pu construire un ensemble de croyances aux quatre coins du globe de manière indépendante ? Leurs récits ont-ils alimenté ces légendes qu’on raconte encore aujourd’hui et qui se traduisent dans les textes sacrés et dans des milliers d’œuvres d’art ? Les deux théories sont possibles et certainement pas incompatibles. D’autant que les EMI existaient déjà dans les temps reculés. Les Grecs anciens les appelaient Deuteropotmos » tandis qu’on parlait de Las Dog » chez les tibétains pour désigner les personnes mortes qui seraient revenues du paradis pour raconter leurs histoires. Et comme à notre époque, les individus qui racontaient le même genre d’expérience, avec le même genre de sensations, avaient beaucoup de difficultés à être crues. Mais certains ont pu l’être et nourrir les récits les plus légendaires…Une autre vie nous attendrait Les personnes qui ont raconté leurs expériences n’ont pas été ramenées de la mort, mais ont été sauvés à un point très proche de la mort. Personne ne peut donc affirmer qu’elles indiquent ce qui nous attend tous à l’étape ultime de la mort. Mais elles peuvent nous donner une idée de ce qui nous attend avant ce moment fatidique, et tout indique qu’il y aurait une vie après la vie qui retracerait les souvenirs de la première tout en se nourrissant de nos facultés sensorielles, perceptives et imaginatives. Une vie intérieure faisant apparaître d’autres temporalités que notre confrontation au monde extérieur. Et cette vie ne serait pas forcément brève mais simplement affranchie du temps. Qu’est-ce que le temps ? demande Saint Augustin. Si personne ne me le demande, je le sais. Mais si on me le demande et que je veuille l’expliquer, je ne le sais plus ». Le temps n’a pas d’existence en tant que tel. Ce sont les choses, et leur écoulement qui rendent sensibles le passé, le présent, l’avenir » précise Aristote. L’horloge mentale qui est en nous, qui bat la régularité de l’écoulement du temps et qui en permet l’existence, semble se détraquer dans certaines situations très particulières. Beaucoup ont rapporté que le temps s’arrêtait lorsqu’ils croyaient mourir. Les quelques secondes qui séparent l’anticipation d’une collision avec un véhicule et la collision elle-même durerait une éternité. Des auteurs ont montré que cette impression de ralenti était due au fonctionnement de notre mémoire. Face à un événement potentiellement fatal ou très inattendu, la mémoire enregistrerait un maximum d’informations de manière à rappeler plus facilement des souvenirs ressemblant à la situation fatale et nous permettant d’y survivre. C’est cet enregistrement massif d’informations qui nous donnerait l’illusion que l’événement dure plus longtemps. Et puisqu’il n’existe rien de plus fatal, de plus inattendu que la mort elle-même, il est permis de croire que le temps se dilate encore davantage à son approche, nous livrant à une réverbération sans fin de nous-même où se déploient perceptions conscientes et inconscientes. Un voyage pluridimensionnel, entre mémoire et souvenirs. Entre nostalgie et attente. Entre la vie et la Lacroix Journaliste et auteur scientifique Fondateur de les liens hypertextes menant vers d'autres sites ne sont pas mis à jour de façon continue. Il est possible qu'un lien devienne introuvable. Veuillez alors utiliser les outils de recherche pour retrouver l'information Stirrat and Corn weil Evolution Education and Outreach, 20 13 6332. Morin Jacques, L’expérience de mort imminente enjeu de validation paradigmatique entre les matérialistes et les dualistes des neurosciences, Mémoire de l’Université du Québec à Montréal3. Konopka LM. Near death experience neuroscience perspective. Croat Med J. 2015 Aug;564 Mobbs D, Watt C. There is nothing paranormal about near-death experiences how neuroscience can explain seeing bright lights, meeting the dead, or being convinced you are one of them. Trends Cogn Sci. 2011 Oct;1510447-9. doi Epub 2011 Aug Long J. Near-death experience. Evidence for their reality. Mo Med. 2014 Sep-Oct;1115 Moody Raymond, 1980, La vie après la vie. Enquête à propos d 'un phénomène la survie de la conscience après la mort du corps physique, Traduction française Éditions Robert Laffont 1977, Montréal, pp. 35 à Kroeger D, Florea B, Amzica F 2013 Human Brain Activity Patterns beyond the Isoelectric Line of Extreme Deep Coma. PLoS ONE 89 e75257. doi Jimo Borjigin et al. Surge of neurophysiological coherence and connectivity in the dying brain ? PNAS August 27, 2013 vol. 110 no. 35, 2013, doi Parnia Sam et ali, 2014, AWARE AWAreness during Resuscitation. A prospective study. 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peut on toucher un mort apres le lavage mortuaire