🐖 Plateforme Nationale Pour Le Logement Des Réfugiés
Laplateforme est un outil de péréquation territoriale, visant à soulager l’effort de certains territoires par la mobilisation de logements vacants situés dans des territoires moins tendus. A cet effet, elle mobilise des
Depuis2015, la Dihal s’est engagée pour accélérer l’accès au logement des réfugiés sur le territoire national, en lien avec les acteurs de terrain mobilisés dans une
Publiéle : 14 août 2017. La Plateforme protestante pour l’accueil des réfugiés a été créée en novembre 2014 dans le but de structurer, renforcer et développer l’action d’accueil de la Fédération d'Entraide Protestante (FEP)
Plateformenationale pour le logement des réfugiés 1,265 views Mar 3, 2020 La plateforme nationale pour le logement des réfugiés est un dispositif piloté par la Dihal et géré par le GIP
A pour des soins psychiatriques à la demande d’un tiers. Il bénéficie d’une sortie avec programme de soins psychiatriques ambulatoires à compter du 15 février. Il est à nouveau hospitalisé du 6 mars au 6 avril : du 6 au 10 mars pour des soins psychiatriques à la demande d’un tiers, puis à compter du
MurielPénicaud, Ministre du Travail et Jean-Marie Marx, Haut-Commissaire aux compétences et à l’inclusion par l’emploi ont annoncé lundi 28 janvier les premiers lauréats de l’appel à projets pour l’intégration professionnelle des réfugiés, lancé en octobre dernier, dans les locaux de KODIKO, à Paris.
Laplateforme nationale pour le logement des réfugiés a été créée dans le cadre du premier plan « migrants » pour répondre à la crise migratoire de 2015 (circulaire interministérielle du 22
Desplateformes et des réseaux ont même été créés pour les aider à trouver des logements. Des logements pour les réfugiés, appel à projets du gouvernement. D’ici 2017, l’Hexagone accueillera plus de 30 000 réfugiés venus du Liban et de la Turquie, entre autres. Le développement de logements pour les héberger devient donc une
LaCroix-Rouge française était là pour accueillir les 53 réfugiés syriens et irakiens venus de Munich et les accompagner dans le centre d’hébergement mis à leur disposition; une résidence pour étudiants qui va leur permettre de retrouver des conditions de vie dignes. Les premiers réfugiés venus d'Allemagne accueillis en Île-de-France.
service Plateforme nationale pour le logement des réfugiés. GIP Habitat et Interventions Sociales Montreuil. Chef.fe de service Plateforme nationale pour le logement des réfugiés. GIP Habitat et Interventions Sociales Montreuil il y a 3 semaines Faites partie des 25 premiers candidats Découvrez qui GIP Habitat et Interventions Sociales a recruté pour ce
Logementdes réfugiés : le plan migrants. Présentation des objectifs du plan migrants et de leurs évolutions, de l’organisation de l’accès au logement des réfugiés dans le parc social au travers de la plateforme nationale, des résultats obtenus, et des perspectives d’augmentation des objectifs de relogement.
EmmaüsConnect : Le projet porté par Emmaüs Connect, au niveau national, donnera accès à internet à 1 000 personnes réfugiées, il permettra d’en équiper 250 en matériel numérique à prix solidaire grâce à la plateforme lacollecte.tech. Pour les accompagner dans la prise en main de l’outil, des travailleurs sociaux en Centre Provisoire d’Hébergement (CPH)
Ausein de la plateforme nationale pour le logement des réfugiés: au 30 juin 2020,1118 réfugiés sont en attente d'un relogement en mobilité géographique, dont plus de 40 % sont hébergés en lIe-de-France. S'agissant du programme de réinstallation: du fait de la crise sanitaire, l'objectif initial de 5 000 réinstallés arrivant en 2020 sera difficile à atteindre. S'il est
Unappel à projets national 2019 pour l’intégration des primo-arrivants est, plus encore qu’en 2018, recentré sur des projets d’intérêt national. Des crédits sont délégués aux préfets de région pour un montant d’environ 39,6M€, soit + 84 % par rapport à 2018. Action 15, BOP 104 « accompagnement des réfugiés »
ACTIONLOGEMENT PROPOSE LA MOBILISATION RAPIDE DE 1 000 LOGEMENTS FAMILIAUX POUR ASSURER L’ACCUEIL DE 5 000 RÉFUGIÉS Face aux enjeux liés à l’afflux de migrants en France et afin de répondre à l’appel de solidarité nationale pour trouver rapidement des solutions de logements adaptés, les Partenaires sociaux, réunis ce
i8IIyLc. Affaires sociales Publié 26/06/2018 Modifié 20/08/2021 La plateforme nationale pour le logement des réfugiés est un dispositif piloté par la Dihal et géré par le GIP Habitat et interventions sociales. Elle apporte des opportunités de logements complémentaires pour les bénéficiaires de la protection internationale présents dans des structures d’hébergement et souhaitant s’inscrire dans un parcours en mobilité géographique. 5 700 personnes ont été relogées par la plateforme depuis sa création La plateforme est un outil de péréquation territoriale, visant à soulager l’effort de certains territoires par la mobilisation de logements vacants situés dans des territoires moins tendus. A cet effet, elle mobilise des logements sur l’ensemble du territoire national, à l’exception de l’Ile-de-France. Créée en 2015, la plateforme nationale a permis le relogement de plus de 5 700 personnes , principalement dans des territoires où la pression sur le logement social est faible. L’accès à un logement est assorti d’un accompagnement social global des ménages concernés, assuré par des associations locales ouverture des droits, accès aux soins, apprentissage linguistique, insertion professionnelle, formation professionnelle et accès à l’emploi, scolarité des enfants… afin de favoriser leur accès aux droits et leur bonne intégration dans les nouveaux territoires d’implantation. Contact logementplanmigrants
Créée par la circulaire interministérielle du 22 juillet 2015, la plateforme nationale de relogement des réfugiés pilotée par la DiHAL et gérée par le GIP Habitat et Interventions sociales favorise, lorsqu’elles sont disposées à la mobilité géographique, l’accès à l’habitat des personnes bénéficiaires d’une protection internationale. Ce dispositif reposant sur l’appariement national de l’offre identifiée par les coordonnateurs départementaux pour obtenir leurs coordonnées, contacter Pierre Meaux DIHAL – – 01 40 81 34 98 et de la demande des réfugiés accueillis en structure d’hébergement, vient d’être dupliqué pour mieux satisfaire les besoins des jeunes réfugiés. La Fédération répond présente à cet appel à la solidarité et vient de signer le protocole d’accord national relatif à l’accueil de ce public. aux côtés de l’UNHAJ, de l’UNAFO et de l’ALJT. Accueillir les jeunes réfugiés à faibles ressources en logement accompagné L’objectif du protocole est de proposer une solution aux jeunes réfugiés de moins de 25 ans ne pouvant bénéficier du RSA et disposant par conséquent de ressources trop faibles pour accéder au logement ordinaire. Il consiste dès lors à mobiliser une partie de l’offre des associations volontaires du secteur du logement accompagné foyers de jeunes travailleurs, résidences sociales ou logement de transition et d’en adapter certaines modalités. Les jeunes orientés vers cette offre complémentaire devront toutefois disposer d’un minimum de ressources pour être en mesure de pourvoir à leurs dépenses quotidiennes élémentaires il s’agira typiquement de jeunes apprentis, stagiaires ou de bénéficiaires de la garantie jeunes. Les réfugiés éligibles sont tous les réfugiés présents sur le territoire national, sans distinction de filière » d’origine, programme de relocalisation, programme de réinstallation, réfugiés sortant du dispositif national d’accueil des demandeurs d’asile, etc., hébergés dans des structures financées par les programmes 177 ou 303hébergement d’urgence, hébergement d’insertion, CPH, HUDA, CADA, AT-SA, etc.. Les cinq composantes de la plateforme pour le logement des jeunes réfugiés Le dispositif décrit dans l’accord cadre s’appuie sur cinq éléments cumulatifs L’identification et la mobilisation de l’offre disponible par les coordonnateurs départementaux. Les gestionnaires qui souhaiteraient contribuer à la plateforme doivent leur adresser ce formulaire qui permettra d’agréger l’ensemble des propositions de logement au niveau national. Lorsque la plateforme de la DiHAL recevra une demande semblant correspondre à l’offre signalée par les gestionnaires, elle reprendra contact avec eux pour en vérifier la disponibilité et pour organiser le cas échéant l’accueil du jeune sous 3 jours en lien avec l’OFII qui se chargera du transfert. La prise en charge financière pendant 6 mois renouvelables une fois, moyennant convention locale avec les DDCSPP, du différentiel entre les capacités contributives des jeunes et le niveau réel des redevances, une fois les aides au logement déduites sauf pendant la durée de l’ouverture des droits. La mise en place d’un accompagnement social global accès aux droits, emploi et formation, santé, logement, etc. réalisé soit par le gestionnaire des murs s’il est en capacité de le réaliser, soit par une association partenaire disposant de l’expertise requise pour travailler avec un public réfugié. Cet accompagnement sera financé à hauteur de 1 500 € par personne et par an, dans les termes de la circulaire du 22 juillet 2015. Il devra s’inscrire dans un partenariat étroit avec les partenaires associatifs et institutionnels du territoire, et s’articuler avec le contrat d’intégration républicaine conclu avec l’OFII, afin que le jeune bénéficie des prestations qui en découlent, notamment en matière d’apprentissage de la langue française. Une aide à l’installation de 330 € par personne destinée si nécessaire à équiper et à meubler les logements, et versée à la structure accompagnatrice. Une aide alimentaire de 4 € par personne et par jour, versée aux associations agréées pour la distribuer ou directement aux gestionnaires qui disposeraient d’un service de restauration collective. Les points de vigilance dans la mise en œuvre du protocole Malgré l’avancée que représente le protocole pour les jeunes réfugiés qui pourront en bénéficier, il pèche encore par trois limites que la Fédération espère pouvoir infléchir dans le temps La condition imposée par le protocole de ne concerner que les jeunes bénéficiaires d’une protection internationale qui bénéficient de ressources leur permettant de disposer d’un revenu de subsistance minimum. En effet, le protocole vise les jeunes réfugiés qui seraient éligibles à la garantie jeune ou en formation professionnelle, dispositif peu adapté à la situation des jeunes réfugiés, souvent allophone. La non prise en compte des jeunes réfugiés qui ne sont pas hébergés dans des établissements du parc généraliste ou pour demandeurs d’asile, mais chez des tiers, en habitat de fortune ou sans-abri. Les jeunes réfugiés devraient, dans un souci d’égalité de traitement et a fortiori lorsqu’ils connaissent des conditions d’existence très précaires, pouvoir contacter eux-mêmes la plateforme ou a minima être orientés par l’intermédiaire de services de la veille sociale maraudes et accueils de jours. La limitation de la prise en charge à un an 6 mois renouvelables une fois. Au terme de cette période, si le jeune réfugié n’a pu accéder à une solution d’habitat pérenne, il sera réorienté par le gestionnaire vers une solution d’hébergement en lien avec le SIAO. Cette disposition est doublement problématique, d’abord parce qu’elle fait reposer la responsabilité de la continuité du parcours voire de la procédure d’expulsion sur le gestionnaire, et ensuite parce qu’elle risque de créer un effet couperet » pour les jeunes dont l’accès au logement serait proche, mais nécessiterait encore quelques mois d’accompagnement ou d’attente avant l’attribution effective d’un logement définitif qui ne dépend pas de la seule volonté du jeune ou du gestionnaire, mais aussi de la mobilisation d’autres acteurs. La fin anticipée de prise en charge dans l’hypothèse où le jeune ne s’inscrirait pas dans le processus d’accompagnement proposé ». La Fédération considère à l’inverse et conformément à la philosophie du logement d’abord » que l’accompagnement ne devrait pas être un outil de coercition conditionnant le bénéfice d’autres droits ou prestations, mais un levier d’émancipation et de capacitation des personnes. De plus, cette possibilité introduit un fonctionnement dérogatoire à celui du logement adapté ordinaire, où le contrat de résident ne peut être résilié qu’en cas d’impayés ou de manquements graves été répétés au règlement intérieur. Contacts Pour une question générale Pierre Meaux DIHAL – – 01 40 81 34 98 Ghazi Zaroui DGCS – – 01 40 56 47 25 Pour une question liée à une situation individuelle GIP HIS Télécharger la fiche technique relative au protocole..
Affaires sociales Publié 17/12/2021 Modifié 17/12/2021 Créée en 2015, la plateforme nationale pour le logement des réfugiés est un dispositif d’appariement visant à répondre aux besoins de logements des BPI présents dans des structures d’hébergement en proposant des logements vacants identifiés dans les territoires. Sans se substituer aux dispositifs existants, elle constitue un véritable outil de solidarité nationale, en permettant de soulager l’effort de certains territoires par la mobilisation de logements vacants, situés dans des territoires moins tendus. La plateforme permet également de valoriser les réfugiés qui souhaite construire un projet d’insertion dans un territoire ciblé, en proposant directement leurs profils et leurs compétences aux territoires concernés. Les bénéficiaires du dispositif sont accompagnés dans la construction de leur projet de vie, en amont par leur centre d'hébergement, puis sur le territoire d’accueil par un organisme spécialisé. Cet accompagnement favorise l’intégration des ménages dans leur nouveau lieu de vie, tant au niveau de l’insertion professionnelle, de l’apprentissage de la langue française que de la scolarisation des enfants et de la participation à la vie locale. Les chiffres-clés 5 000 personnes ont accédé à un logement depuis 2015, dont 522 personnes en 2020 Si vous souhaitez transmettre une offre de logement ou effectuer une demande de logement, merci de bien vouloir remplir le formulaire ci-dessous et l'adresser à plateformeDIHAL Télécharger le formulaire
© LE NOUVEAU RÉVEIL PAR DR Le directeur de la communication et des relations extérieures, du ministère de la Promotion de la bonne gouvernance, du renforcement des capacités et de la lutte contre la corruption. FOUSSENY TOURÉ 70 fonctionnaires épinglés dont 16 agents de la santé, après dénonciation et signalement ou alertes des cas de corruption et infractions assimilées sur la plateforme de dénonciation des actes de corruption, SPACIA. Le lien vers le site internet de dénonciation des actes de corruption Depuis le 11 juillet, date du lancement officiel de cette plateforme, soit en deux semaines, ce sont 51 cas de corruption qui ont été signalés. C’est le bilan dressé, hier, mardi 26 juillet par Touré Fousseni, directeur de la Communication du ministère de la Promotion de la bonne gouvernance, du renforcement des capacités et de la lutte contre la corruption. C’était au cours du 25ème rendez-vous de l’émission Tout savoir sur , du CICG. Au cours de cette tribune avec la presse, le directeur de la Communication du ministre Zoro Bi Ballo Epiphane, présentait le Système de prévention et de détection des actes de corruption et d’infraction assimilées, SPACIA. En plus du site internet, les usagers peuvent appeler au 1345 ou venir dans les locaux de SPACIA pour déposer les plaintes ou porter les informations afférentes au cas de corruption. Institué le 13 avril 2022, le SPACIA intègre un numéro vert et une plateforme informatique, avec pour missions de recueillir les dénonciations, les signalements ou alertes des cas de corruption et infractions assimilées, et de procéder à leur traitement. La mise en place de cet organe vise à renforcer et à améliorer le dispositif de prévention et de lutte contre la corruption et les infractions assimilées, de façon à insuffler plus de transparence dans la gestion des affaires publiques. En cas de faits concordants ou d’infraction avérée, le SPACIA est habilité à saisir les autorités compétentes, mais également à assurer le suivi des mesures prises, a conclu le porte-parole du gouvernement. Selon Touré Fousseni, En 2019, la corruption a coûté 4% du Pib soit le budget du ministère de l’Education nationale. À travers SPACIA, nous voulons accroitre le nombre et les cas de détections et de dénonciations, accroitre l’implication citoyenne, inculquer l’esprit et la culture de l’intégrité et de la redevabilité. Les secteurs où plus de faits ont été rapportés, sont la santé, la construction, les transports, la sécurité et l’intérieur, les douanes. » Il a, en outre rassuré, que l’identité des plaignants et dénonciateurs seront tenus secret et protégés. Pour rappel, c’est le 11 juillet dernier que la plateforme SPACIA a été lancée par le Premier ministre Patrick Achi. JEAN PRISCA
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